Mes larmes inondent de leurs flots,
La page vide de mes maux;
Mon coeur saigne en sanglot,
De toute cette vie qui prend l’eau.
J’aimerai tant pouvoir dire
Que tout vas pour le mieux
Mais ce serait alors mentir
Et me voiler les yeux.
C’est une maladie rare,
Très difficile à soigner;
qui détruit de part en part,
Tout les muscles et nerfs concernés.
Mais malgré ce fléau,
C’est l’amour qui vaincra;
Je serais comme le roseau,
Qui plit mais ne casse pas.
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